Le rapport enregistre, sans aucune autre investigation, des dénonciations d'organisations non gouvernementales qui ne font l'objet d'aucun examen indépendant.
C'est précisément en raison de cet enregistrement arbitraire qu'il apparaît que de graves problèmes de droits de l'homme se posent dans tous les pays dotés d'un État de droit développé.
Il est particulièrement important en termes d'intégrité, de crédibilité et d’objectivité du rapport de signaler que l'opinion de l'État grec n'ait pas été sollicitée sur les questions mentionnées.
Bien que des progrès soient reconnus à de nombreux niveaux en ce qui concerne la protection des droits en Grèce, le rapport ignore ou néglige complètement les interventions réglementaires et les stratégies nationales de ces dernières années visant à garantir les droits des catégories vulnérables de citoyens, telles que les personnes handicapées, les LGBTI et les mineurs non accompagnés.
Au fil du temps, les rapports sur la Grèce présentent des questions similaires en matière de droits de l'homme. En particulier au cours de la période 2016-2019, des dénonciations sérieuses ont été citées, qui ont progressivement été traitées.
Le gouvernement grec continuera à œuvrer de manière cohérente en faveur de la démocratie et de l'État de droit en Grèce, en renforçant l'égalité réelle des citoyens et leurs droits individuels et sociaux et en améliorant leur niveau de vie.
April 23, 2024