Ν. Kotzias : Bonjour et bonne année. Je pense qu’en cette nouvelle année nous allons régler les questions de politique étrangère qui demeurent en suspens depuis des décennies, des questions auxquelles nous devons apporter des solutions constructives comme l’impose l’intérêt national.
Nous avons discuté des questions relatives aux Balkans, de la façon dont nous développerons davantage notre coopération avec les autres pays balkaniques et nous contribuerons ensemble à une plus grande prospérité et à la reconstruction productive de nombreuses régions des Balkans.
Pour ce qui est de l’Albanie, nous avons débattu des questions qui font partie de l’ensemble de solutions proposées au sujet de notre différend avec le pays voisin et je pense que, ces dernières semaines, nous avons fait des pas positifs dans la bonne direction.
Pour ce qui est de l’ARYM, nos discussions ont essentiellement porté sur la question du nom. Pour ce qui est de ce dossier, le gouvernement, comme il l’a à maintes reprises souligné, soutient et négocie pour une appellation composée pour tous les usages, ce qui était, par ailleurs, la position soutenue par la Grèce à Bucarest. Nous sommes en faveur d’une concertation avec tous les partis et les forces politiques du pays, avec chaque personnalité et chaque citoyen souhaitant et voulant que des solutions soient apportées aux questions qui préoccupent le pays en vue de construire un nouvel avenir, sans que des problèmes du passé oppriment la vie politique de ce pays.
Journaliste : Etes-vous optimiste ?
Ν. Κotzias : Je suis toujours optimiste.
January 4, 2018