Lors du premier jour de la réunion informelle des ministres des Affaires étrangères de l'UE, hier, mes homologues et moi-même avons eu une discussion sur l'avenir de l'architecture de sécurité en Europe, mais aussi sur nos relations avec l'Iran, à la lumière de la récente levée des sanctions.
Aujourd'hui, nous avons eu une discussion sur la crise des migrants et des réfugiés entre les Etats membres des Balkans occidentaux candidats à l'adhésion et les membres de l'UE qui se trouvent dans le couloir des Balkans occidentaux. Cette question figurait d'ailleurs tout en haut de l'agenda lors de la rencontre entre les ministres des Affaires étrangères des Etats membres de l'UE et leurs homologues des Etats candidats à l'adhésion. Nous avons souligné la nécessité de trouver des solutions complexes à ces problèmes complexes et pour ce faire, il faudra appliquer toutes les décisions prises lors des rencontres et qui ne sont pas mises en œuvre.
Pour notre part, nous avons fait clairement savoir que les réponses ne doivent pas être apportées par la Grèce seulement, mais par tous les Etats membres de l'Union européenne et la Commission européenne car l'aide nécessaire, prévue dans les décisions prises lors de toutes les rencontres tenues jusqu'à aujourd'hui, n'a pas encore été donnée à la Grèce ».
February 6, 2016