Je me trouve aujourd'hui à Łódź, en Pologne, à l'occasion de la réunion ministérielle de l'OSCE. Nous avons eu l'occasion d'examiner l'environnement sécuritaire, à la fois dans un contexte euro-atlantique et dans un contexte euro-asiatique. C'est, après tout, l'élément qui définit et différencie cette organisation.
En outre, j'ai eu quatre réunions bilatérales avec les ministres des affaires étrangères de l'Arménie, de l'Azerbaïdjan et de deux pays d'Asie centrale, le Tadjikistan et l'Ouzbékistan, des pays avec lesquels la Grèce n'a pas de contacts particulièrement fréquents, bien que nous soyons liés à eux par la longue tradition d'Alexandre le Grand.
Le fil conducteur de toutes mes déclarations, tant à la conférence ministérielle que dans les contacts bilatéraux, était les principes fermes de la politique étrangère grecque : L'adhésion au droit international, le respect de l'intégrité territoriale et de la souveraineté de tous, quels que soient les États, et, surtout, la condamnation de tout révisionnisme d'où qu'il vienne.
December 1, 2022