« La dimension environnementale de l'UE, dans la conjoncture actuelle, est une composante importante de la Conférence sur l'avenir de l'Europe et, par conséquent, une action immédiate et coordonnée est nécessaire », a souligné le ministre délégué aux Affaires étrangères, Miltiadis Varvitsiotis, lors de la conférence du Comité économique et social hellénique intitulée « Le dialogue public dans le cadre du Comité économique et social pour l'avenir de l'Europe ».
Comme l'a souligné le ministre délégué aux Affaires étrangères, « vivre sur une planète sûre est un droit humain tout aussi important. Des objectifs très ambitieux ont été fixés pour lutter contre la crise climatique. Des objectifs qui vont au-delà de l'horizon mondial. Nous voulons que l'Europe devienne le continent le plus vert plus rapidement que n'importe quelle autre région du monde et nous pensons que nous devons le faire, car l'Europe est un lieu où règnent la démocratie et le respect des droits de l'homme, et cela se répercute sur le niveau de vie et le climat dans lequel nous vivons. »
« Nous avons demandé aux citoyens européens, à la société civile, de nous dire dans quel type d'Europe ils veulent vivre et dans quel type d'Europe ils veulent élever leurs enfants et nous pouvons concevoir ensemble cette Europe. C'est le moment où Bruxelles devrait se taire et écouter les citoyens de la périphérie de l'Europe, ceux qui ne participent pas aux centres de décision », a-t-il ajouté.
Le ministre délégué aux Affaires étrangères a signalé l’importante contribution du Comité économique et social à cet égard, à travers aussi l'intégration de ses points de vue dans la plateforme numérique de la Conférence sur l'avenir de l'Europe et dans le projet de loi sur le climat promu par le gouvernement grec, car il s'agit de l'un des principaux piliers de l'expression de pensées créatives et de la convergence de nombreux acteurs qui participent au façonnement de notre avenir commun.
November 4, 2021