Chers amis,
En 2015, l'Assemblée générale des Nations Unies a instauré la « Journée internationale de commémoration et d’hommage aux victimes de génocide et de prévention de ce crime ». La signification de cette journée reste forte. Et, malheureusement, opportune.
Pour l'État grec en particulier, la nécessité de commémorer et de rendre hommage aux victimes de ces crimes est une préoccupation primordiale.
La Grèce a été le premier pays à reconnaître le génocide des Grecs pontiques et d'Asie Mineure. Elle a même établi le 19 mai et le 14 septembre comme journées de commémoration du génocide des Grecs pontiques et d'Asie Mineure, respectivement. Ces journées rendent le minimum de respect et d'hommage aux victimes de ces actes odieux.
La préservation de la mémoire historique est un devoir primordial de l'État grec.
En outre, notre pays a activement milité au fil du temps au niveau international pour la reconnaissance universelle du génocide et du déracinement forcé des Grecs pontiques et d’Asie mineure de 1914 à 1923.
Dans ce contexte, je tiens à féliciter l'Association « Nikos Kapetanidis » pour le travail extrêmement important qu'elle réalise.
Et je tiens à vous assurer que le ministère des Affaires étrangères continuera à soutenir et à contribuer aux efforts des organisations pontiques dans le monde entier.
Dans la période critique que nous traversons, la prévention du génocide reste un devoir fondamental pour tous.
December 9, 2022